Apolline De Malherbe fortune : quel est son patrimoine

Finance

La fortune d’Apolline de Malherbe intrigue, et c’est tout à fait légitime. Journaliste reconnue, figure incontournable de BFMTV, elle affiche une carrière impressionnante et un train de vie qui suscite la curiosité. Sa fortune personnelle est estimée à environ 1,5 million d’euros, entre revenus professionnels, biens immobiliers et investissements. Ce chiffre n’est pas officiel, car la journaliste reste très discrète sur ses affaires privées, mais il s’appuie sur une analyse des données disponibles et des estimations cohérentes au regard de sa carrière.

Voyons ensemble les différentes composantes de son patrimoine pour mieux comprendre comment cette fortune s’est constituée au fil des années.

Une carrière médiatique stable et bien rémunérée

Apolline de Malherbe a su construire sa carrière sur des bases solides. Diplômée de Sciences Po Paris et ancienne étudiante à la Sorbonne, elle se fait rapidement un nom dans le paysage médiatique français. Elle rejoint BFMTV en 2007, où elle s’impose progressivement comme l’une des figures phares de la chaîne.

Son poste actuel de présentatrice de la matinale « Apolline Matin » est central dans sa rémunération. D’après plusieurs sources médiatiques, un journaliste de ce niveau peut prétendre à un salaire mensuel brut compris entre 15 000 et 20 000 euros. Sur une année, cela représente un revenu brut de 180 000 à 240 000 euros, hors primes ou collaborations externes.

Elle participe également à d’autres émissions, collabore avec des médias écrits et intervient en tant que conférencière, ce qui complète ses sources de revenus. Au total, son activité professionnelle lui permet d’atteindre plus de 250 000 euros par an, ce qui contribue fortement à l’augmentation de sa fortune personnelle.

Des investissements immobiliers discrets mais stratégiques

Comme beaucoup de personnalités publiques, Apolline de Malherbe aurait investi une partie de ses revenus dans l’immobilier. Bien qu’elle n’ait jamais communiqué publiquement sur ses biens, des recoupements d’informations et des registres consultables laissent penser qu’elle serait propriétaire d’un appartement à Paris.

Le marché parisien, notamment dans les arrondissements centraux, affiche des prix moyens autour de 11 000 euros le mètre carré. Un appartement de 80 m², dans un quartier prisé comme le 6e ou le 7e arrondissement, vaudrait ainsi près de 900 000 euros. S’il s’agit de sa résidence principale, cet actif immobilier constitue un pilier de son patrimoine.

Certains évoquent aussi un possible investissement secondaire en province, ce qui serait cohérent avec la tendance de diversification des actifs des cadres du milieu journalistique. Cela permettrait à Apolline de sécuriser une part de ses revenus, tout en bénéficiant d’une valorisation régulière de son patrimoine.

Des droits d’auteur et publications qui génèrent des revenus

Apolline de Malherbe est également l’auteure de plusieurs ouvrages. Ses livres, comme « Le dernier secret » ou « Politique : ils vous mentent », publiés chez Grasset ou dans d’autres maisons reconnues, participent à la constitution de sa fortune.

Un auteur peut espérer entre 8 % et 12 % de droits sur le prix de vente d’un livre, selon son contrat et sa notoriété. Si l’un de ses ouvrages se vend à 10 000 exemplaires à 20 euros l’unité, cela représente environ 16 000 à 24 000 euros de revenus nets par titre.

Même si l’écriture n’est pas sa principale source de revenus, ses ouvrages lui assurent un revenu passif non négligeable, valorisant à la fois sa visibilité médiatique et sa capacité à diversifier ses activités.

Une présence médiatique qui attire les collaborations externes

Le visage d’Apolline de Malherbe est associé à la rigueur et à l’analyse politique. Cette réputation lui permet de signer des collaborations ponctuelles avec des magazines, maisons d’édition ou groupes de réflexion.

Elle est également sollicitée comme intervenante dans des événements privés, forums, conférences ou colloques liés au journalisme et à la politique. Ces prestations sont souvent rémunérées entre 2 000 et 5 000 euros l’intervention, voire plus selon le contexte.

Ces missions occasionnelles viennent s’ajouter à son salaire principal, augmentant sensiblement ses revenus annuels. Elles renforcent aussi son réseau professionnel, ce qui a un impact indirect mais réel sur la valorisation de son image et, donc, sur les opportunités à venir.

Une gestion patrimoniale prudente et structurée

Apolline de Malherbe n’est pas connue pour afficher un style de vie extravagant. Elle cultive une image sobre et sérieuse, ce qui laisse penser à une gestion prudente de son patrimoine.

Nous pouvons supposer qu’elle fait appel à des conseillers financiers pour optimiser ses placements : assurance-vie, épargne en unités de compte, portefeuille d’actions ou obligations. Ces outils permettent de faire fructifier ses revenus sans prise de risque excessive.

Avec un revenu régulier et élevé, elle a très probablement mis en place une stratégie patrimoniale sur le long terme, orientée vers la stabilité plutôt que la spéculation. Cela expliquerait une fortune évaluée autour de 1,5 million d’euros, construite sur une accumulation cohérente et réfléchie d’actifs.

Une notoriété qui valorise indirectement son patrimoine

Être une figure médiatique donne une valeur immatérielle à son image. Pour Apolline de Malherbe, cette notoriété a un effet de levier sur ses opportunités professionnelles.

Elle peut, par exemple, être approchée pour écrire une chronique dans un média haut de gamme, participer à des émissions spéciales, ou devenir l’égérie d’une campagne de communication (dans un cadre cohérent avec son image). Ces propositions peuvent se monnayer à plusieurs dizaines de milliers d’euros par an.

Cette « valeur image » ne figure pas officiellement dans une déclaration de patrimoine, mais elle influe sur sa capacité à générer des revenus dans le futur. À ce niveau de notoriété, l’image devient un actif, parfois aussi important que les biens tangibles.

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